Yves Veyrier, secrétaire général de FO, voudrait que les entreprises qui reçoivent de l’argent public ne suppriment pas d’emplois
Dernière modification : 20 juin 2022
Auteur : Vincent Couronne, docteur en droit public, chercheur associé au VIP (Paris-Saclay)
Source : France inter, 10 juin 2020
S’il est possible, dans une certaine mesure, de durcir les conditions du licenciement, son interdiction pure et simple est inconstitutionnelle. En revanche, demander à l’entreprise de rembourser ce qu’elle a perçu est tout à fait possible.
Dans un entretien sur France inter ce mercredi 10 juin, le secrétaire général du syndicat Force ouvrière (FO), Yves Veyrier, a dit ceci : « À chaque fois qu’il y a aide publique (ou quand l’État est au capital de l’entreprise, comme chez Renault) il faut qu’il n’y ait pas de suppressions d’emplois. »
On ne va pas redire ce que nous avions déjà écrit sur une proposition similaire du député LFI Adrien Quatennens. On vous laisse le lire vous-mêmes, comme aurait dû le faire le secrétaire général de FO.
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